Jeanne HYVRARD

 

(1945-2021). Economiste et juriste de profession, c'est la littérature qui lui a permis de prendre en compte, ce que ces honorables disciplines laissent de côté.

A savoir dans cette révolution cybernétique qui bouleverse le monde, le sort de la matière humaine de plus en plus marginalisée. Dans cette révolution copernicienne de la philosophie, c'est désormais La Grande Machine qui occupe le centre, en reléguant au pourtour l'être humain destitué.

Les 21 livres déjà publiés par l'auteure peuvent être lus séparément. Mais nouvelles, poèmes, romans, essais, récits, constituent tous ensemble un unique traité de la nouvelle Economie Politique, celle du 21e siècle.


Choix bibliographique

  • Mère la mort, (Minuit, 1976 )
  • La Meurtritude, (Minuit, 1977)
  • Les Doigts du figuier, (Minuit, 1977)
  • Auditions musicales certains soirs d’été, (Des Femmes, 1984)
  • Canal de la Toussaint, Paris, des Femmes, 1985
  • La Jeune Morte en robe de dentelle, (Des Femmes, 1990)
  • Grand choix de couteaux à l’intérieur, (Vents d’Ouest, 1998)
  • Poèmes de la Petite France, [S.l.], Ecbolade, 1997
  • Le Fichu écarlate, (Des Femmes, 2004)
  • Carafe d’eau à volonté, Paris, Pleine page, 2006

 

Participation à la revue

  • N° 9 : La porte des vents
  • N° 18 : Journal de l’Amourée
  • N° 30 : Caisse des dépôts
  • N° 40 : Feuilles d'Automne - journal du 23 au 29 octobre 2017